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C'est au cours d'un voyage en Hongrie que nous avons été invité avec chaleur,
à un repas dans une sorte de ferme-auberge suivi d'un spectacle époustouflant de chevaux à grand renfort de coups de fouet ( en l'air ) pour créer l'ambiance.
( cette première photo est l'essai du SX60HS)
C'est aussi dans cette ferme que j'ai rencontré mon premier petit copain, l'âne exempté
de ce spectacle.
Avant le trajet de retour vers Budapest, mon petit âne me confessa qu'il préférait être à sa place
pour ne pas devenir sourd comme un pot.
Quand à la jeune fille en rouge, je pense qu'elle vous y attend encore.
14 commentaires -
Bonjour mes amis et ies,
Depuis le 22 mai, je suis à la recherche de mon rouge-queue qui vient quelquefois sous ma fenêtre me faire une petite visite de courtoisie. Il regarde mais semble ne pas me voir, peut-être voudrait-il engager la conversation avec son reflet?
Ma surprise fut grande lorsque me parvinrent ces quelques mots sifflés depuis son perchoir improvisé:
Bien sûr lui répondis-je, mais en ce moment , avec le travail autour de la maison, etc, etc..
Il me répondit, tu ne sais pas manipuler photoscape, tu m'avais perdu dans tes fichiers, tu n'avais qu'à demander à Michel puis il s'envola.
10 commentaires -
Bonjour,
On sortira les fleurs plus tard.
Bon, et bien on a fait le tour en 2 articles, je pense n'avoir rien oublié,
ah si, la météo, mais là.....
18 commentaires -
Bonjour,
Je vous fais découvrir ce que nous préparons, ô bien modestement,
pour l'arrivée du printemps dans notre petit univers de 8 ares,18 dont une grande
partie est occupée par la maison, des vieux thuyas malades et une descente de garage
vertigineuse et+ en hiver.
Tous les ans, cet ancêtre est égal à lui-même.
Quelques jours d'un beau rose, puis les feuilles brunissent et nous avons un "mal de chien"
en automne pour les ratisser d'entre les herbes.
Bienvenue chez moi.
On retourne vers les préparatifs printaniers pour traverser l'année qui vient en train-train habituel..
On perche la coccinelle, qui ne bougera pas d'un iota pendant que les pucerons nous envahiront,
puis l'oiseau qu'il faut décrocher d'urgence par grand vent.
C'est par là que sortent les fleurs rescapées de l'hiver dernier, et les jardinières comblées
à vils prix par de nouvelles plantes toutes fraîches.
Ah, j'ai oublié mon lilas fétiche qui attend toujours que des oiseaux fatigués se posent
sur lui et qui seront mitraillés depuis ma fenêtre par mon Coolpix S6400. si je pense à
lever la tête depuis mon écran d'ordinateur.
Oui, les préparatifs du printemps font partie des grands moments d'une vie bien tranquille.
Avec toute mon amitié.
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